switcher75008

Réponses à un questionnaire.
PRATIQUES

SEXUELLES Pour maîtresses.

fellation et soumission
Pratiques buccales : fellation et ingestion de sperme

Recevoir un cunnilinctus de l’esclave : J'adore Lécher les chattes.
Faire une fellation à l’esclave : J'adore aussi.
Lui faire sucer un godemiché :Si Maîtresse l'impose.
Anilinctus (donner à l’esclave) : Cela m'excite.
Anilinctus (recevoir de l'esclave) : j'adore être obligé de faire une feuille de rose
Lui faire avaler son sperme : être obligé de lécher les pieds Maîtresse après qu'elle m'ait masturbé avec (foot job). (Voir aussi la suite du questionnaire).

Pénétrations :

Le faire pénétrer par un godemiché, un gode ceinture : cela me paraît normal pour un soumis.
Faire asseoir l’esclave sur un gode ou un plug anal : idem.
Port de plugs, en privé, sous des vêtements, un rosebud sous un string résille pourquoi pas ?
Sodomiser l’esclave, par la Maîtresse avec un gode ceinture, cela me paraît inhérent à la soumission. Me faire sodomiser par un homme sur ordre de la Maîtresse me paraît plus difficile à supporter (voir suite du questionnaire).
Se faire sodomiser par l’esclave. C'est aussi un de mes fantasmes de sodomiser une dominatrice.

Dilatation anale soumission masculine.

Dans la soumission masculine, il y a obligatoirement, de la part de la Maîtresse, l'envie de dilater l'anus d'un homme, pour me soumettre, j'accepterais chapelet anal, plug gonflable ( jamais essayé, cela me fait un peu peur.
Fister l’esclave analement : idem cela me fait très peur, il me faudrait une Maîtresse très salope et très autoritaire pour m'imposer un fist anal.

Masturbations & services manuels:

Masturbation imposée : À genoux avec un plug ou un rosebud dans l'anus, et me forcer à éjaculer dans une coupe de champagne, et m'imposer de boire le contenu ensuite.

Masturber l’esclave : idem : À genoux avec un plug ou un rosebud dans l'anus, et me forcer à éjaculer dans une coupe de champagne, et m'imposer de boire le contenu ensuite.

Se faire masturber par l’esclave : J'adore aussi, avec la langue, les mains, les pieds.


Coïts :

Avoir des rapports sexuels avec l’esclave : je n'ai rien contre, bien au contraire !

Imposer l’homosexualité à l'esclave : Il est vrai que cela doit être très excitant pour une dominatrice d'imposer l'homosexualité à un homme devant elle.
J'avoue que je suis hétéro et donc, cela m'humiliera d'autant plus.

bondage et sodomie :
Étant menotté les mains dans le dos, une barre d'écartement autour des chevilles, il me semble assez simple, pour une dominatrice de m'imposer de tailler une pipe à genoux à un homme
avant de me forcer à me mettre en levrette pour être sodomisé, avec un préservatif, bien sûr.

J'enfilai des gants et mis du lubrifiant dessus. J'introduisis directement deux doigts dans son anus. Son corps se crispa mais son anus se détendit vite.
J'enfilai ensuite mon gros gode ceinture, je frottais mon gland artificiel contre son anus et commençais à le pénétrer délicatement je savais qu'il lui faudrait du temps pour prendre entièrement les 25 cm du gode, mais je n'avais aucune envie d'attendre, alors je forçais l'entrée non sans douleur pour lui mais peu m'importait.
Une fois le gode bien en lui je commencai à l'enculer de plus en plus fort, il gémissait, criait, je m'en foutais je voulais lui faire mal.
Je me retirai plusieurs minutes après qu'il m'ai supplié, quand j'eus décidé que j'en avais fini avec lui.
Je commencai alors de le branler ou plutôt le finir avec mes pieds. Je pris fermement son sexe encore tout excité de la sodomie entre mes pieds et m'activais de plus en plus fort jusqu'a ce qu'il répande sur mes pieds sa semence, alors, je lui imposait de me lécher les pieds et d'avaler son sperme.
J'adore traiter les mâles comme des petites lopettes.

Fétichiste, probablement narcissique et certainement un peu exhibitionniste, partager ce fantasme avec une dominatrice provoque en moi une extase sexuelle toute particulière. Savoir qu’elle va me voir porter de petites culottes sexys ou autres accessoires féminins exacerbent ma libido. En privé, je laisserai apparaitre cette part de féminité enfouie en moi (sans pour autant avoir à perdre mon identité masculine). Un jeu complice entre nous, le paradoxe de la confusion, un travestissement pour faire joli, ou imposé, à vivre sans modération ! Une jouissance de l’esprit bien plus forte qu’un orgasme… Je me plais à porter ces culottes dentelles, bas, porte-jarretelles et nuisettes sexys en sa présence et sans pudeur, les fesses à peine cachées par l’étoffe des dessous choisis.

Mon égo d’homme s’efface ! J’accepte et recherche sa domination, l’humiliation consentie, le plaisir d’être une femme à mon tour. Elle prendra l’initiative sexuelle, dirigera et décidera quand je n’aurai qu’à obéir ou subir. Une soumission recherchée pour un échange de Pouvoirs. Dépendre de ses envies, s’offrir au moindre de ses désirs, laisser l’excitation nous envahir, elle de me voir travestie et soumise et moi de m’offrir sans réticences. Gémir ! Oh oui, gémir quand elle me pénétrera et me laisser confusément penser que je suis une femme. Ressentir « bizarrement » mon bas ventre bouillonner. De son coté, elle explorera la condition de l’homme, entreprenant, celui qui dirige et impose sa loi. Elle jouira de la Force et du Pouvoir. Elle aussi possède une face cachée, un coté masculin, l’envie d’avoir un phallus et plus encore de pouvoir s’en servir. Elle rêve à son tour d’être conquérante… Elle devient à cet instant l’Homme qui va jouer de sa suprématie sur cette femme fictive que je représente.

J’assume, en privé, mon rôle. Les techniques de vente actuelles, discrètes à souhait, lui ont permis de me créer une petite garde robe bien remplie mais aussi de nous offrir bon nombre de jouets. Boules de geisha, vibromasseurs, plugs, godemichets et bien d’autres encore se sont, petit à petit, faits nos compagnons de jeux. Mais aujourd’hui, le plus souvent utilisé est un gode-ceinture.

Dorénavant, c’est elle qui donne quand moi, je reçois. Elle a le pouvoir phallique! Il m’ôte ce coté macho hérité, effaçant ce qui reste de masculinité en moi. Même hors des ces moments de « débauche », je suis devenu plus soumis et surtout me complais dans ce nouveau rôle qu’elle m’attribue. Encore loin de l’homosexualité réprouvée, ce pénis artificiel bouleverse ma sensualité, bousculant ma sexualité « débridée ». Physique et mentale, cette situation me convient émotionnellement et sans crainte de me fourvoyer, j’imagine aisément qu’il en est de même pour elle. Elle devient dominatrice, je deviens soumis(e). Plus fort encore, j’adore sentir son pouvoir quand elle s’équipe.

Son gode ceinture est plus gros que mon pénis qui n’est plus le conquérant dans cette relation, m'impose d'autant plus la soumission. Elle porte le symbole du masculin, les attributs du plus fort ; c’est elle qui décide maintenant ! Je me plie à ses envies, laisse ses mains fouiller mon anus sans m’y opposer. J’écarte alors mon string, ou baisse ma culotte, derniers remparts censés protéger mon intimité. Je m’offre en me cambrant telle une femme en chaleur à ce phallus qu’elle arbore fièrement. Douce ou violente, la pénétration reste à son choix. Dans tous les cas, je me dois de l’accepter et n’hésite pas à onduler des hanches pour lui faciliter l’intromission. Un afflux de pulsions diverses me bouleverse.
Ses coups entre mes fesses confirme son envie de prise de pouvoir, mes soupirs d’extase, celui de mon abandon, de ma souffrance quand les coups de boutoirs de son gode long de 25 cm et d'un diamètre de 5 me pénètre jusqu'à la garde de ses testicules artificielles : " Tu aimes te faire enculer, petite salope " : " Oui Maîtresse, fais moi jouir par le cul ". Parfois, elle me pince les tétons, un geste symbolique de mon statut de femelle. Elle m'impose de devenir sodomite par plaisir, par envie, par besoin.